Occurences de l'expression

vous

pour POINSINET de SIVRY, Louis

Options de recherche : partie de mot et insensible à la casse

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LE CERCLE, OU LA SOIRÃ‰E A LA MODE (1764)

C'est vous, Monsieur, quoique nous vous désirions sans cesse, nous ne vous attendions pas si tôt. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Pour le coup, Monsieur, vous étonnez jusqu'à ma reconnaissance. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Que vous êtes charmant ! (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Vous joignez au mérite de donner, le mérite plus rare encore, de savoir donner avec grâce. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Aussi qui ne s'intéresserait à vous ? (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Si Lucile pouvait disposer d'elle-même, je vous suis caution que le Marquis, malgré son élégance et ses talons rouges, ne remettrait jamais les pieds dans la maison. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Des deux choses que vous me demandez, je ferai facilement l'une, parce qu'elle vous intéresse et me contente ; nous autres domestiques, dont le ridicule devoir est d'écouter sans cesse et de ne parler jamais, nous avons tant de pénétration à découvrir les défauts de nos Maîtres, tant de plaisir à les divulguer ; tenez, cela nous console, nous soulage, et il semble que cette petite médisance, qui dans le fond est bien innocente, allège de temps en temps le poids de l'obéissance, et rapproche l'intervalle qui les sépare d'avec nous. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Je vous dirai donc bien sincèrement ce que je pense d'Araminte ; mais pour vous indiquer les moyens de lui plaire, dispensez m'en je vous en prie ; elle n'y réussirait pas elle-même. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Que penserez-vous de moi ! (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Que je suis trop sincère, je vous l'avoue et tout est dit : aussi pourquoi ont-ils des ridicules ? (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Je vous parlerais de Cidalise la Prude, de la Minaudière Isméne qui ne peut dire un mot sans l'accompagner de la plus jolie petite grimace... (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Vous voilà, Monsieur ? (Acte 1, scène 2, LUCILE)
Quelles que soient mes occupations, belle Lucile, mes sentiments pour vous se justifient par ma conduite. Je consacre à vous attendre tous les moments où je suis privé de vous voir. (Acte 1, scène 2, LISIDOR)
Gardez-vous d'en tirer avantage, je ne sais plus ce que je vous ai dit ; je suis si troublée ! (Acte 1, scène 2, LUCILE)
Figurez-vous qu'elle n'a presque point dîné, parce qu'elle se dit malade ; moi, j'ai cru lui faire ma cour en l'assurant qu'elle n'avait jamais eu le teint meilleur, et point du tout, je l'ai mis d'une humeur affreuse. (Acte 1, scène 2, LUCILE)
Vraiment, c'est que vous ignorez encor, Mademoiselle, que rien n'est moins décent dans le grand monde que de jouir d'une santé parfaite, à quelque prix que ce soit, on veut inspirer un sentiment. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Que vous me chagrinez ! (Acte 1, scène 2, LISIDOR)
Ainsi vous haïssez des lieux, belle Lucile, où je puis chaque jour, et vous voir, et vous jurer que je vous aime. (Acte 1, scène 2, LISIDOR)
Je ne dois pas vous aimer ; mais je puis, je crois, vous avouer que de toutes les personnes qui viennent ici, vous êtes le seul dont la conversation me soit chère. (Acte 1, scène 2, LUCILE)
Et vous me permettez encore de voir votre douleur : sur la résolution que, malgré ses promesses, votre mère a prise de vous unir avec le Marquis. (Acte 1, scène 2, LISIDOR)
Vous... ne l'aimez pas ? (Acte 1, scène 2, LISIDOR)
Je vous entends, je sais que l'obéissance est un devoir ; mais ce devoir a ses bornes. (Acte 1, scène 2, LISIDOR)
Vous me le répétez sans cesse, et d'après vos discours et mes livres, je suis quelquefois bien tentée de croire qu'une obéissance aveugle tient un peu du préjugé, mais quand la réflexion me ramène à moi-même, ce que je crois plus fermement encore, c'est que l'exacte observation des bienséances est un des premiers devoirs de mon sexe, et qu'entre le vice et la vertu, il n'y a souvent qu'un préjugé de différence. (Acte 1, scène 2, LUCILE)
Que vous êtes charmante, et qu'il est rare et beau d'unir tant de raison à tant de grâces ! (Acte 1, scène 2, LISIDOR)
Ceci me regarde, c'est une petite anecdote que je possède et qu'il est bon de vous conter. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Notre Maîtresse et ses deux inséparables, vous reconnaissez bien Ismène et Cidalise, ennuyées d'un Tri et ne sachant sur quoi médire, s'avisèrent de s'occuper. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Araminte à ce métier achève une fleur de tapisserie ; Cidalise prend nonchalamment un fil d'or, fait approcher de son fauteuil un tambour et brode en bâillant une garniture de robe, tandis qu'Ismene couchée sur le canapé travaille un falbala de Marly : on entend des chevaux hennir, l'escalier retentir, un laquais annonce, et le Marquis paraît : « Que je suis heureux de vous trouver Mesdames ! (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Peignez-vous la surprise, l'extase de nos trois femmes ; le Marquis tire sa montre, suppose un rendez-vous et les quitte : mais que le fripon sait bien avoir gravé dans leurs coeurs la plus profonde idée de son mérite ! (Acte 1, scène 2, LISETTE)
En vérité, Lisette, vous êtes une fille bien étrange. (Acte 1, scène 3, ARAMINTE)
Que faites-vous ici, Lucile ? (Acte 1, scène 3, ARAMINTE)
Il me semble, quand j'ai du monde chez moi, qu'une fille aussi grande que vous, doit être bonne au moins à faire les honneurs de ma maison. (Acte 1, scène 3, ARAMINTE)
Taisez-vous. Je m'aperçois assez, Mademoiselle, que mes plaisirs vous ennuient ; mais vous n'exigerez pas de moi, j'espère, que je m'accoutume aux vôtres. (Acte 1, scène 3, ARAMINTE)
Rentrez, votre Maître à chanter vous attend. (Acte 1, scène 3, ARAMINTE)
Je crois, Monsieur, vous faire assez joliment ma cour. (Acte 1, scène 3, ARAMINTE)
La Compagnie est dans le petit salon, vous, restez dans celui-ci, je veux bien ne pas m'apercevoir que c'est ma fille qui vous y retient, il me semble que cela est fort honnête. (Acte 1, scène 3, ARAMINTE)
Au reste, vous me rendez un vrai service, et si vous pouviez un peu redresser son esprit. (Acte 1, scène 3, ARAMINTE)
Que faites-vous donc là, Lisette ? (Acte 1, scène 3, ARAMINTE)
Ne vous ai-je pas dit que j'allais au spectacle ? (Acte 1, scène 3, ARAMINTE)
Vous ne songez point à ma toilette. (Acte 1, scène 3, ARAMINTE)
Pardon, Madame, mais il y a quelque fois si loin de ce que vous dites à ce que vous faites. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
Je vous en félicite, vous allez, ainsi que tout Paris, admirer ce chef-d'oeuvre que chérit plus particulièrement son auteur : vous mêlerez vos larmes à celles de Mérope. (Acte 1, scène 3, LISIDOR)
Et qu'est ce que tout cela, s'il vous plaît ? un tintamarre d'incidents impossibles, des reconnaissances que l'on devine, des Princesses qui se passionnent si vertueusement pour des Héros que l'on poignarde quand on n'en sait plus que faire, un assemblage de maximes que tout le monde sait et que personne ne croit, des injures contre les grands et par-ci par-là quelques imprécations ; en vérité cela vaut bien la peine d'avoir les yeux battus et le teint flétri. (Acte 1, scène 3, ARAMINTE)
C'est la musique, c'est cette musique brillante qu'il est du bon ton de trouver sublime ; pour les pièces, il y en a que j'ai vues dix fois, dont je serais fort embarrassée de vous dire le titre ; et pour moi, je fais personnellement si peu de cas des paroles, que j'ai toujours chez moi un poète prêt à me parodier les airs qu'il me prend fantaisie de chanter... (Acte 1, scène 3, ARAMINTE)
À propos, on me conseille de vendre ma terre en Champagne, vous la connaissez, nous en raisonnerons, je placerai cet argent sur ma tête et sur celle de ma fille ; cela m'arrangera, ainsi que le Marquis, dont l'unique désir est d'augmenter son revenu. (Acte 1, scène 3, ARAMINTE)
Ainsi malgré l'espoir que vous m'avez permis, il est décidé que le Marquis ?... (Acte 1, scène 3, LISIDOR)
Et vous ne devez pas m'en vouloir... (Acte 1, scène 3, ARAMINTE)
Vous tenez à votre état, il est triste, je le suis naturellement, et j'ai besoin d'un gendre qui m'égaie. (Acte 1, scène 3, ARAMINTE)
On le dit encore attaché au char d'une certaine Comtesse, que sans doute il vous sacrifie. (Acte 1, scène 3, LISIDOR)
Je ne le soupçonne point d'oser jamais vous sacrifier vous-même. (Acte 1, scène 3, LISIDOR)
Comme elle vient d'apprendre que vous allez ce soir au spectacle, elle vous envoie demander si vous voulez lui donner une place et venir la prendre. (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Vous ne la voyez plus ? (Acte 1, scène 4, LISIDOR)
Rêvez-vous, mon cher Lisidor ? (Acte 1, scène 4, ARAMINTE)
Vous ne la connaissez donc pas ? (Acte 1, scène 4, ARAMINTE)
J'ignorais ces motifs, mais seraient-ils assez puissants pour vous faire renoncer au plaisir que vous vous promettiez au spectacle ? (Acte 1, scène 4, LISIDOR)
Je vous garde au moins Lisidor. (Acte 1, scène 4, ARAMINTE)
Ne m'abandonnez pas, je vous prie, à tout l'ennui d'un tête-à-tête de cette espèce. (Acte 1, scène 4, ARAMINTE)
Il y a des siècles que vous nous abandonnez. (Acte 1, scène 5, ARAMINTE)
Mais, que voulez-vous ? (Acte 1, scène 5, LE BARON)
Vous me paraissez toujours aussi franc qu'à votre ordinaire. (Acte 1, scène 5, ARAMINTE)
Il y a tant de gens qui mentent, les uns par goût, les autres malheureusement par devoir ; que l'on oublierait enfin l'existence de la vérité, si le coeur de quelque galant homme ne lui servait encor d'asile ; au reste, ce n'est point vous qui me devez reprocher ma franchise, elle vous a souvent été utile et va vous l'être encore aujourd'hui. (Acte 1, scène 5, LE BARON)
Je viens vous parler d'affaires. (Acte 1, scène 5, LE BARON)
Vous savez que je n'aime pas les visites inutiles ; mais savez-vous que l'objet qui m'occupe rend celle ci très importante ? (Acte 1, scène 5, LE BARON)
Il est de mes amis, il est digne d'être des vôtres, sa réputation même vous est déjà connue : c'est Monsieur Lisidor. (Acte 1, scène 5, ARAMINTE)
Oui, j'en conviens ; vous êtes peut-être, Monsieur, le seul homme dont je n'ai jamais entendu dire que du bien. (Acte 1, scène 5, LE BARON)
Ça, dites moi, dois-je ajouter foi, ma chère Araminte, au singulier bruit qui se répand de vous dans le monde ? (Acte 1, scène 5, LE BARON)
Êtes-vous décidée absolument à marier votre fille, sans m'en donner le moindre avis, à un certain Marquis, un extravagant, un fou sans mérite ? (Acte 1, scène 5, LE BARON)
Vous voyez, Madame, que je ne suis pas le seul.... (Acte 1, scène 5, LISIDOR)
Oui, je sens que vous triomphez... (Acte 1, scène 5, ARAMINTE)
Vous pourriez être mal informé, Baron. (Acte 1, scène 5, ARAMINTE)
Quelles que soient les vôtres, je vous conjure.... (Acte 1, scène 5, ARAMINTE)
Je vous conjure à mon tour de croire que ce mariage ne se fera point. (Acte 1, scène 5, LE BARON)
Je viens tout exprès ici vous proposer un autre parti pour Lucile. (Acte 1, scène 5, LE BARON)
Vous-même, Baron ? (Acte 1, scène 5, ARAMINTE)
Oui, moi-même ; que trouvez-vous donc là de si surprenant ? (Acte 1, scène 5, LE BARON)
C'est un peu trop vous défier de vos forces, Monsieur, et j'aurais cru qu'une âme aussi bien placée que la vôtre pouvait regarder la liberté comme le premier bonheur de la vie. (Acte 1, scène 5, LISIDOR)
Votre proposition me flatte en même temps qu'elle m'étonne ; songez-vous bien, Baron, que Lucile est si jeune ?... (Acte 1, scène 5, ARAMINTE)
Vraiment, j'avais d'abord jeté les yeux sur vous. Je vous estime, je vous honore, et même, vu votre âge et d'autres considérations, peut-être nous conviendrions-nous beaucoup mieux ; mais vous vivez dans le monde, vous l'aimez, il faudrait y renoncer, et je m'apprécie ; je n'en vaux pas le sacrifice. (Acte 1, scène 5, LE BARON)
C'est à la main de Lucile que j'aspire : elle a été élevée en Province : elle est jeune, assez naïve, il lui en coûtera moins pour se faire à ma façon de penser, car je vous déclare que j'ai dessein de vivre dans mes terres. (Acte 1, scène 5, LE BARON)
Vous le croyez vous autres que le tourbillon du monde entraîne, vous ne concevez pas le plaisir qu'il y a de vivre loin du tumulte et chez soi : une maison simple et bien disposée, où l'agréable s'unit sans faste à l'utile, un ciel serein, un air pur, des aliments salubres, des vêtements commodes, une société peu nombreuse, mais choisie, des plaisirs vrais que ne suit jamais le repentir, et qui servent à la santé loin de la détruire. (Acte 1, scène 5, LE BARON)
Je ne puis m'y refuser, Baron, il y a bien du vrai dans ce que vous dites. (Acte 1, scène 5, ARAMINTE)
S'il m'eût été possible de vous prévenir sur mes sentiments... (Acte 1, scène 5, LISIDOR)
Vous savez ce que je pense de vous, et je ne veux pas qu'il soit dit que j'aie jamais fait obstacle au bonheur d'un galant homme. (Acte 1, scène 5, LE BARON)
Sans doute, vous nous demeurez ? (Acte 1, scène 5, ARAMINTE)
Raison de plus pour que je vous quitte. (Acte 1, scène 5, LE BARON)
Au moins revenez souper ; j'ai quelques projets à vous communiquer à mon tour. (Acte 1, scène 5, ARAMINTE)
J'ai de ma part, aussi bien des choses à vous dire. (Acte 1, scène 5, LE BARON)
On fera tout ce qui pourra vous plaire. (Acte 1, scène 5, ARAMINTE)
Vous m'intéressez, tenez ferme ; et s'il en est besoin, je vous promets mon secours. (Acte 1, scène 5, LE BARON)
Vous voilà ; Monsieur Damon ? (Acte 1, scène 6, ARAMINTE)
Elles vont se rendre ici ; et si cela peut vous plaire, Madame, je n'attendrai plus que vos ordres et leur présence pour commencer la lecture de ma tragédie. (Acte 1, scène 6, DAMON)
Vous m'avez paru la désirer. (Acte 1, scène 6, DAMON)
qui pourra vous donner d'excellents avis : c'est un connaisseur. (Acte 1, scène 6, ARAMINTE)
Il faudra me faire avertir : quoique j'aie renoncé aux tragédies, je violerai pour vous mon serment... (Acte 1, scène 6, ARAMINTE)
Vous pouvez compter sur moi ; j'y mènerai vingt femmes. (Acte 1, scène 6, ARAMINTE)
Je vous le répète, j'en augure beaucoup. (Acte 1, scène 6, ARAMINTE)
Je juge de votre tragédie par la jolie chanson que vous m'avez adressée le jour de ma fête... (Acte 1, scène 6, ARAMINTE)
Je veux vous la montrer, Lisidor : vous en serez séduit ; elle est toute âme. (Acte 1, scène 6, ARAMINTE)
Vous savez notre aventure ? (Acte 1, scène 7, ARAMINTE)
Je vous en fais mon compliment, Mademoiselle ; le nombre de vos amants s'augmente avec vos charmes. (Acte 1, scène 7, ISMÈNE)
On dirait que tous les aspirants se sont donné rendez vous aujourd'hui. (Acte 1, scène 7, ISM?NE)
Soupçonnez-vous ce que ce peut-être ? (Acte 1, scène 7, ISMÈNE)
Monsieur, nous la lirez-vous toute entière ? (Acte 1, scène 7, ISMÈNE)
Mais... comme il vous plaira, mesdames. (Acte 1, scène 7, DAMON)
C'est qu'une tragédie, je crois, est bien longue ; cela pourrait vous fatiguer. (Acte 1, scène 7, ISMÈNE)
Point du tout, Mesdames ; on oublie aisément ses peines quand on réussit à vous amuser. (Acte 1, scène 7, DAMON)
Vous n'avez donc rien gagné sur notre cher Abbé ? (Acte 1, scène 7, ARAMINTE)
Mais... c'est vous, Mesdames, qui êtes de la dernière barbarie. (Acte 1, scène 7, L'ABBÉ)
Vous voyez... (Acte 1, scène 7, L'ABB?)
C'est-à-dire que vous nous rangez dans la classe de ceux que l'on peut refuser sans crainte. (Acte 1, scène 7, ARAMINTE)
Ne vous fatiguez pas, Mesdames ; je connais Monsieur l'Abbé : il ne chantera point ; vous l'en priez trop. (Acte 1, scène 7, LISIDOR)
Venez ; je vous sais bon gré de ne pas m'abandonner. (Acte 1, scène 8, ARAMINTE)
Ismène, je vous demande votre confiance pour Monsieur... (Acte 1, scène 8, ARAMINTE)
Que voulez vous ? (Acte 1, scène 8, LE MÉDECIN)
Quoique vous nous fassiez mourir, il faut bien songer à vous faire vivre... (Acte 1, scène 8, LE M?DECIN)
Vous croyez aux médecins, Madame ? (Acte 1, scène 8, L'ABBÉ)
Crachez-vous ? (Acte 1, scène 8, LE MÉDECIN)
Je vous jure qu'avec des bols de savon nous parviendrons à atténuer ces humeurs errantes. (Acte 1, scène 8, LE MÉDECIN)
Voudriez-vous, par exemple, que je déchirasse l'estomac d'une jolie malade avec du miel aérien, qui ne purge que par indigestion ? (Acte 1, scène 8, LE MÉDECIN)
Oserais-je vous demander, Monsieur, ce que c'est que du miel aérien ? (Acte 1, scène 8, L'ABBÉ)
Et vous, Madame, pour lier connaissance, n'avez-vous pas quelque confidence à me faire ? (Acte 1, scène 8, LE MÉDECIN)
Vous allez aussi consulter ? (Acte 1, scène 8, L'ABBÉ)
Sans doute ; ne me connaissez-vous pas de la langueur, des tiraillements ? (Acte 1, scène 8, ISMÈNE)
Doucement, s'il vous plaît, Madame ; doucement. (Acte 1, scène 8, LE MÉDECIN)
De la pesanteur, dites-vous ; des dégoûts..... (Acte 1, scène 8, LE M?DECIN)
Vous portez sur vous des eaux de Cologne, de fleurs d'orange ? (Acte 1, scène 8, LE M?DECIN)
J'irai demain matin vous faire ma cour ; je serai bien aise de vous voit un peu assidûment, afin de mieux étudier les causes de votre état. (Acte 1, scène 8, LE MÉDECIN)
Si vous vouliez permettre, Mesdames... (Acte 1, scène 8, DAMON)
Et vous, belle Cidalise ? (Acte 1, scène 8, LE MÉDECIN)
C'est contre mon avis que vous avez fait éventer la veine. (Acte 1, scène 8, LE MÉDECIN)
Mais voilà comme vous êtes, Mesdames : depuis que votre petit Chirurgien s'est donné le renom d'un joli saigneur, il vous fait tourner la cervelle... (Acte 1, scène 8, LE M?DECIN)
Je devrais, pour vous punir, vous abandonner à sa lancette inhumaine, vous laisser épuiser jusqu'au blanc : mais vous êtes si intéressante ! (Acte 1, scène 8, LE M?DECIN)
Je ne vous conseille pourtant pas de vous tranquilLiser sur ce prétendu bien-être : il faut du régime, de l'exercice et de la petite diète... (Acte 1, scène 8, LE M?DECIN)
À vous, mon aimable Demoiselle. (Acte 1, scène 8, LE M?DECIN)
N'allez-vous pas faire ici la ridicule, quand Monsieur le Docteur a pour vous des complaisances ? (Acte 1, scène 8, ARAMINTE)
Mais moi, Monsieur, mais moi, j'étudie le caractère, la tournure d'esprit de mes malades ; je prévois les accidents, et j'aime mieux préparer, et même dans l'occasion, prolonger une maladie, que de trancher dans le vif, et vous rendre en huit jours une santé grossière dont on ne jouit dans le monde que pour en abuser. (Acte 1, scène 8, LE MÉDECIN)
Que mes soins n'ont pu vous charmer ? v.3 (Acte 1, scène 8, L'ABBÉ)
Que d'efforts il faut pour vous plaire ! v.4 (Acte 1, scène 8, L'ABB?)
Il n'en faut pas pour vous aimer. v.5 (Acte 1, scène 8, L'ABB?)
Mais on vous le pardonne ; la bizarrerie est l'apanage du talent. (Acte 1, scène 8, ISMÈNE)
Le trouvez-vous ? (Acte 1, scène 8, L'ABBÉ)
Il est de vous ? (Acte 1, scène 8, ARAMINTE)
Bien, là? sincèrement, qu'en pensez-vous ? (Acte 1, scène 8, L'ABBÉ)
Elles sont aussi de vous ? (Acte 1, scène 8, ARAMINTE)
Je suis pénétré de ne pouvoir vous entendre. (Acte 1, scène 8, LE MÉDECIN)
Vous nous demeurez à souper ? (Acte 1, scène 8, ARAMINTE)
Je vous conterai quelque jour son aventure. (Acte 1, scène 8, LE MÉDECIN)
Du régime, je vous en prie. (Acte 1, scène 8, LE M?DECIN)
Messieurs, je vous salue. (Acte 1, scène 8, LE M?DECIN)
Mesdames, vous m'excuserez. (Acte 1, scène 9, L'ABBÉ)
Liberté toute entière, mon cher Abbé : mais si vous vouliez être tout-à-fait charmant, vous auriez la complaisance d'accompagner ma fille à son clavecin. (Acte 1, scène 9, ARAMINTE)
Le Baron qui ne peut tarder à revenir, serait charmé de vous entendre, et Lucile apprendrait de vous quelque jolie romance. (Acte 1, scène 9, ARAMINTE)
Il suffit que cela vous plaise, Madame : il n'est rien que je ne vous sacrifie. (Acte 1, scène 9, L'ABBÉ)
Je vous suis, Mademoiselle. (Acte 1, scène 9, L'ABB?)
Que ne puis-je vous accompagner ? (Acte 1, scène 9, LISIDOR)
À vous, Monsieur Damon. (Acte 1, scène 10, ARAMINTE)
Suivez-moi, Monsieur, s'il vous plaît ; le titre de ma Tragédie est CYRUS, fils de Cambise. (Acte 1, scène 10, DAMON)
Vous savez, Mesdames, que le tyran Astyages...... (Acte 1, scène 10, DAMON)
N'est ce pas à vous à commander chez moi ? (Acte 1, scène 10, ARAMINTE)
Vous allez voir... (Acte 1, scène 10, ISMÈNE)
Vous allez vous mettre ici... (Acte 1, scène 10, ISM?NE)
Vous nous tournerez le dos, afin d'être moins distrait. (Acte 1, scène 10, ISM?NE)
Pauvres talents, comme on vous humilie ! (Acte 1, scène 10, DAMON)
Adieu, Mesdames, c'est moi qui craindrais de vous distraire de vos grandes occupations... (Acte 1, scène 10, DAMON)
Mais que dites-vous donc de ce petit auteur ? (Acte 1, scène 11, ARAMINTE)
Le trouvez vous bien récompensé des soins qu'il prend pour vous plaire, et de la jolie chanson qu'il vous a jadis adressée ? (Acte 1, scène 11, LISIDOR)
Vous approuvez sa conduite ? (Acte 1, scène 11, ARAMINTE)
Point du tout, Madame ; je suis chez vous, je pense qu'il a tort. (Acte 1, scène 11, LISIDOR)
Monsieur, je vous salue. (Acte 1, scène 12, LE MARQUIS)
Mais vous êtes bien seules, Mesdames. (Acte 1, scène 12, LE MARQUIS)
Comment voulez-vous qu'on fasse ? (Acte 1, scène 12, LE MARQUIS)
C'est un cadeau dont je veux vous régaler. (Acte 1, scène 12, LE MARQUIS)
Aussi vous ne risquez jamais rien : il faut savoir brusquer la fortune. (Acte 1, scène 12, LE MARQUIS)
Mais vous me ressemblez : vous êtes trop prudente. (Acte 1, scène 12, LE MARQUIS)
Vous connaissez mon cocher, sa témérité, sa fierté, son bouquet, ses moustaches : c'est un coquin.... (Acte 1, scène 12, LE MARQUIS)
Vous verrez qu'on ne pourra plus courir Paris sans avoir le blason dans sa poche. (Acte 1, scène 12, LE MARQUIS)
Mais à quoi tuez-vous donc le temps ? (Acte 1, scène 12, LE MARQUIS)
Cela prouve bien qu'il y a longtemps que je ne vous ai donné de bons exemples, que je n'ai mis la main à l'ouvrage. (Acte 1, scène 12, LE MARQUIS)
Oui ; il vous sied bien de parler d'ouvrage ! (Acte 1, scène 12, ISMÈNE)
Vous êtes cause que ma petite robe n'est point montée. (Acte 1, scène 12, ISM?NE)
Vous vous donnez les airs de m'emporter un rang de falbala, sous prétexte d'y travailler. (Acte 1, scène 12, ISM?NE)
Aussi fais-je : mais peu vous importe, pourvu que vous grondiez, et que vous fassiez aux gens une petite moue, que vous savez bien qui vous rend plus charmante encore... (Acte 1, scène 12, LE MARQUIS)
Tenez, vous ne ménagez point vos amis ; c'est votre défaut, Ism7ne : Eh ! (Acte 1, scène 12, LE MARQUIS)
Bien, je vous jure que je n'ai que votre falbala dans la tête, que je m'en occupe sérieusement. (Acte 1, scène 12, LE MARQUIS)
Vous surpassez la maîtresse en beauté, je ne me pique pas d'avoir toute la célébrité de l'amant : mais au moins suis-je jaloux de l'égaler en complaisance comme en courage. (Acte 1, scène 12, LE MARQUIS)
Si je vous prouvais que je n'ai cessé ce matin de travailler à votre ouvrage en raisonnant avec mon avocat, que je le porte toujours sur moi... (Acte 1, scène 12, LE MARQUIS)
Vous permettrez ! (Acte 1, scène 12, ISMÈNE)
En vérité, Monsieur_le_Marquis, vous êtes très aimable : mais vous pourriez attendre la fin de la partie ; on ne peut s'occuper de son jeu, et vous écouter. (Acte 1, scène 12, CIDALISE)
Je vais, pendant que vous finirez, m'amuser à cette tapisserie. (Acte 1, scène 12, LE MARQUIS)
Dussiez-vous m'en vouloir encore, j'oubliais précisément ce que je suis venu tout exprès pour vous dire. (Acte 1, scène 12, LE MARQUIS)
C'est à vous à parler, Cidalise. (Acte 1, scène 12, ARAMINTE)
Vous connaissez bien le Comte_d'Orvigni ? (Acte 1, scène 12, LE MARQUIS)
Vous me désolez... (Acte 1, scène 12, ARAMINTE)
Vraiment oui ; vous m'en voyez pénétrée... (Acte 1, scène 12, ARAMINTE)
C'est à vous à parler, Cidalise. (Acte 1, scène 12, ARAMINTE)
Marquis, vous m'avez serez le coeur... (Acte 1, scène 12, ARAMINTE)
Vous ne la connaissez pas. (Acte 1, scène 13, LE MARQUIS)
Si vous l'aviez vue, comme moi, à table ; entourée de chats, de chiens, de singes, de catacouas, elle les baise, les fait impitoyablement baiser à la ronde, partage avec eux son assiette.... (Acte 1, scène 13, LE MARQUIS)
Il est heureux pour vous, Monsieur, d'être de ce nombre. (Acte 1, scène 13, LISIDOR)
De bonne foi, Marquis, comment conduisez-vous la grande Comtesse ? (Acte 1, scène 13, ISMÈNE)
Vous n'êtes point au fait !.... (Acte 1, scène 13, LE MARQUIS)
Vous n'imagineriez jamais quelle était sa folie... (Acte 1, scène 13, LE MARQUIS)
Vous badinez. (Acte 1, scène 13, CIDALISE)
Mais elle est femme de qualité, d'un âge très convenable ; et il faut que vous aimiez bien éperdument votre petite bourgeoise de Lucile pour la préférer. (Acte 1, scène 13, ISMÈNE)
Parbleu vous ne me connaissez guère. (Acte 1, scène 13, LE MARQUIS)
Vous n'y pensez pas vous-même, si c'est l'intérêt qui vous conduit. (Acte 1, scène 13, CIDALISE)
Non pas absolument, vous imaginez bien que je ne calcule guère, moi : mais en vérité, la vie que je mène m'accable ; la multiplicité des aventures m'excède. (Acte 1, scène 13, LE MARQUIS)
Savez-vous, Mesdames, qu'il faudrait être de fer pour résister aux fatigues de vous faire sa cour ? (Acte 1, scène 13, LE MARQUIS)
Toujours des assiduités, des soins, des rendez vous, c'est à ne pas finir. (Acte 1, scène 13, LE MARQUIS)
C'est une raison de plus pour retourner à la Comtesse ; elle est d'un âge convenable, et sans vous mésallier, vous jouiriez alors d'une fortune qui surpasse de beaucoup celle de Lucile. (Acte 1, scène 13, CIDALISE)
Vous plaisantez : oh ! (Acte 1, scène 13, LE MARQUIS)
C'est vous-même qui, je crois, êtes le seul dans Paris à ignorer que, depuis votre rupture, elle est devenue l'unique héritière de son oncle le Commandeur. (Acte 1, scène 13, ISMÈNE)
Ce que vous m'apprenez change beaucoup mes vues ; et tout bonnement, je serais tenté de rendre Lucile à son robin. (Acte 1, scène 13, LE MARQUIS)
Allons ; allons, j'y vais mettre ordre, et vous prouver que je sais soutenir mes droits. (Acte 1, scène 13, LE MARQUIS)
Comme vous dites, la Comtesse est jolie femme ; elle mérite toutes sortes d'égards. (Acte 1, scène 13, LE MARQUIS)
Pardon, mille fois pardon, si je vous quitte. (Acte 1, scène 13, LE MARQUIS)
Mais vous n'ignorez pas que je suis le premier à plaindre, puisque je vous laisse en partant et tous mes regrets et mon coeur. (Acte 1, scène 13, LE MARQUIS)
J'ai retrouvé mon serin ; je vous ai quittées bien brusquement, j'en consens : mais vous connaissez ma sensibilité. (Acte 1, scène 14, ARAMINTE)
Je viens vous demander Lucile pour Monsieur Lisidor. (Acte 1, scène 15, LE BARON)
Elle l'aime, il le mérité ; et je vous déclare que je me brouille à jamais... (Acte 1, scène 15, LE BARON)
Vous arrivez très à propos, Monsieur ; j'avais à vous dire qu'il ne tient plus qu'à vous d'être mon gendre. (Acte 1, scène 15, ARAMINTE)
Vous, mes bonnes amies, obligez-moi de ne me parler jamais de cette aventure. (Acte 1, scène 15, ARAMINTE)
Vous, Baron, après le souper, je vous demande un moment de conversation. (Acte 1, scène 15, ARAMINTE)
Vous verrez que mes vues peuvent sympathiser avec les vôtres, et que tout aveuglé que vous croyez mon coeur par le tourbillon du monde, il peut encore être éclairé par les conseils d'un homme estimable. (Acte 1, scène 15, ARAMINTE)
Je n'en doutai jamais, ma chère Araminte ; je crois vous deviner, et j'en suis enchanté ! (Acte 1, scène 15, LE BARON)
Que mes soins n'ont pu vous charmer ? v.15 (Acte 1, scène 16, LE BARON)
Que d'efforts il faut pour vous plaire ! v.16 (Acte 1, scène 16, LE BARON)
Il n'en faut pas pour vous aimer. v.17 (Acte 1, scène 16, LE BARON)

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LES PHILOSOPHES DE BOIS (1760)

Vous en être content ? v.7 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-FAGOT)
Et croyez qu'à mon tour je vous le rendrai bien. v.9 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-FAGOT)
C'est vous qui de l'erreur avez levé les voiles, v.17 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-SAPIN)
Enfin sans vous, en plein midi, v.19 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR SAPIN)
Vous réunissez tous les goûts : v.21 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-FAGOT)
Vous êtes en savoir un autre Depostère v.22 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR FAGOT)
Et c'est avec raison que chacun dit de vous, v.23 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR FAGOT)
Quelle charpente il vous a dans l'esprit ! v.32 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-FAGOT)
C'est vouloir vous heurter de front contre une poutre. v.38 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-SAPIN)
Vous voyez un nouvel intru. v.44 (Acte 1, scène 2, POLICHINELLE)
Que vous êtes un bon apôtre ! v.62 (Acte 1, scène 2, POLICHINELLE)
Je vous reconnais ; vous êtes libéral, v.64 (Acte 1, scène 2, POLICHINELLE)
Quand vous n'engagez rien du vôtre. v.65 (Acte 1, scène 2, POLICHINELLE)
Vous n'aurez pas grand changement à faire. v.70 (Acte 1, scène 2, POLICHINELLE)
Vous savez qu'un marchand qui cherche son profit v.75 (Acte 1, scène 2, POLICHINELLE)
Ne m'endormira, je vous le jure ; v.87 (Acte 1, scène 2, POLICHINELLE)
Eh ! Que faut-il donc, je vous prie. v.118 (Acte 1, scène 2, POLICHINELLE)
Je vous suis l'un et l'autre, et vais me mettre au fait. v.125 (Acte 1, scène 2, POLICHINELLE)
Ah ! Ah ! Vous voilà maître ivrogne ? v.137 (Acte 1, scène 3, DAME GIGOGNE)
Vous vous donnez donc du bon temps, v.138 (Acte 1, scène 4, DAME GIGOGNE)
Vous contentez donc votre humeur libertine ! v.139 (Acte 1, scène 4, DAME GIGOGNE)
Vous me laissez grosse de quatre enfants; v.140 (Acte 1, scène 4, DAME GIGOGNE)
Fi donc ! Les préjugés, Madame, où vous voilà, v.151 (Acte 1, scène 4, POLICHINELLE)
Quels gens êtes-vous ? v.239 (Acte 1, scène 8, POLICHINELLE)
C'est moi, Messieurs, que voulez-vous ? v.240 (Acte 1, scène 8, POLICHINELLE)
Que veulent dire je vous prie v.242 (Acte 1, scène 8, POLICHINELLE)
Ces compliments ? Quoi donc ? Êtes-vous fous ? v.243 (Acte 1, scène 8, POLICHINELLE)
Et si vous me mettez sur votre friperie... v.246 (Acte 1, scène 8, POLICHINELLE)
Mon cher Polichinelle ? Arrêtez. Qu'avez-vous ? v.247 (Acte 1, scène 9, MONSIEUR-SAPIN)
Dame Gigogne, eh ! Quoi ? Vous moquez-vous des gens ? v.252 (Acte 1, scène 9, MONSIEUR-SAPIN)
Qu'avez-vous ? v.276 (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-SAPIN)

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AJAX (1789)

Ô Reine ! Où courez-vous ? Quoi ? Lorsque tout sommeille, v.55 (Acte 1, scène 2, HERSILE)
Un soin toujours nouveau vous trouble et vous éveille ? v.56 (Acte 1, scène 2, HERSILE)
Mais, Madame, un faux bruit vous abuse peut-être : v.63 (Acte 1, scène 2, HERSILE)
Auriez-vous oublié les devoirs d'une Reine ? v.84 (Acte 1, scène 2, HERSILE)
Vous pleurez un Héros que la gloire environne : v.87 (Acte 1, scène 2, HERSILE)
A vous persécuter, votre beauté l'excite ; v.104 (Acte 1, scène 2, HERSILE)
Vous-même avez flatté ses amoureux projets. v.106 (Acte 1, scène 2, HERSILE)
Devez-vous espérer qu'il demeure tranquille, v.107 (Acte 1, scène 2, HERSILE)
Ah ! Devez-vous penser qu'une aveugle tendresse v.139 (Acte 1, scène 2, HERSILE)
Bientôt vous reverrez un amant furieux v.142 (Acte 1, scène 2, HERSILE)
De vos projets sur vous renversant l'édifice, v.143 (Acte 1, scène 2, HERSILE)
Je sais qu'on vous redoute. v.156 (Acte 1, scène 2, HERSILE)
Juste Ciel ! Quels projets ! J'en frémis ; mais pour vous. v.181 (Acte 1, scène 2, HERSILE)
Madame, un prompt succès devant vous me ramène, v.183 (Acte 1, scène 3, AJAX)
J'ai combattu pour vous ; la gloire était certaine. v.184 (Acte 1, scène 3, AJAX)
Fier de vous obéir, j'ai traversé les flots : v.185 (Acte 1, scène 3, AJAX)
Vous savez quelle attente occupe ma tendresse : v.191 (Acte 1, scène 3, AJAX)
Venez, vous soumettant à des liens plus doux, v.193 (Acte 1, scène 3, AJAX)
Ainsi donc vainement j'ai cru vous satisfaire ; v.199 (Acte 1, scène 3, AJAX)
En vain j'ai combattu, j'ai vaincu pour vous plaire ! v.200 (Acte 1, scène 3, AJAX)
Quel soin, quel vain soupçon vous tourmente sans cesse ? v.203 (Acte 1, scène 3, PENTHÉSILÉE)
Vous êtes de mes jours arbitre souverain, v.205 (Acte 1, scène 3, PENTH?SIL?E)
Et le sort des combats vous soumet mon destin. v.206 (Acte 1, scène 3, PENTH?SIL?E)
Vous pouvez refuser d'écouter sa prière. v.208 (Acte 1, scène 3, PENTH?SIL?E)
Il vous faut jusqu'au bout prouver mon triste zèle. v.212 (Acte 1, scène 3, AJAX)
Parlez ; expliquez-vous : quel était cet espoir ? v.214 (Acte 1, scène 3, AJAX)
Ingrate... au nom des Dieux, Madame, expliquez-vous. v.217 (Acte 1, scène 3, AJAX)
Eh ! Quoi ? Voulez-vous voir Ajax à vos genoux ? v.218 (Acte 1, scène 3, AJAX)
Seigneur ! Que faites-vous ? Et quel oubli funeste ! v.219 (Acte 1, scène 3, PENTHÉSILÉE)
De votre haine en vain vous couvrez la moitié : v.221 (Acte 1, scène 3, AJAX)
Content de vous servir, j'étais prêt à tout faire ; v.223 (Acte 1, scène 3, AJAX)
J'eusse immolé ma vie au désir de vous plaire ; v.224 (Acte 1, scène 3, AJAX)
Et vous, ingénieuse à me désespérer, v.225 (Acte 1, scène 3, AJAX)
Vous me parlez de voeux, qu'il me faut ignorer ! v.226 (Acte 1, scène 3, AJAX)
Ce que vous désirez, vous n'osez m'en instruire ! v.227 (Acte 1, scène 3, AJAX)
Sur mon coeur, dites-vous, vous n'avez plus d'empire ! v.228 (Acte 1, scène 3, AJAX)
Rassurez-vous, Seigneur, vous serez satisfait. v.230 (Acte 1, scène 3, PENTHÉSILÉE)
Puisque vous le voulez, je romprai ce silence. v.231 (Acte 1, scène 3, PENTH?SIL?E)
Penthésilée encor l'ose attendre de vous ; v.233 (Acte 1, scène 3, PENTH?SIL?E)
Vous-même, en me l'offrant, en deviendrez jaloux. v.234 (Acte 1, scène 3, PENTH?SIL?E)
Vous, rival de vingt rois, de l'obtenir sur tous ; v.245 (Acte 1, scène 3, PENTH?SIL?E)
Et moi, Seigneur, et moi, de la tenir de vous ! v.246 (Acte 1, scène 3, PENTH?SIL?E)
Vous êtes informé de ce qui peut me plaire, v.252 (Acte 1, scène 3, PENTHÉSILÉE)
Ma main peut être à vous ; vous savez à quel prix. v.254 (Acte 1, scène 3, PENTH?SIL?E)
Vengez-vous, par l'oubli, de ses traîtres appas. v.261 (Acte 1, scène 4, ARCAS)
Privez-vous de la voir. v.262 (Acte 1, scène 4, ARCAS)
On vous trompe, Seigneur ; et bientôt, pour tout fruit... v.269 (Acte 1, scène 4, ARCAS)
C'est son zèle pour vous qui fait parler Arcas. v.281 (Acte 1, scène 4, ARCAS)
Puisqu'il vous a déplu... v.282 (Acte 1, scène 4, ARCAS)
Vous m'évitez, Seigneur ! Ne puis-je enfin connaître v.299 (Acte 2, scène 1, ULYSSE)
D'où naît ce sombre ennui que vous faites paraître ? v.300 (Acte 2, scène 1, ULYSSE)
N'osez-vous avec moi parler en liberté ? v.302 (Acte 2, scène 1, ULYSSE)
Croyez-vous que l'honneur balance le fardeau ? v.306 (Acte 2, scène 1, AGAMEMNON)
Vous savez de quel sang l'orgueil l'a cimenté. v.310 (Acte 2, scène 1, AGAMEMNON)
Quoi ? Seigneur ! Un sujet, soigneux de vous déplaire, v.319 (Acte 2, scène 1, ULYSSE)
Forme, de vous braver, le projet téméraire ! v.320 (Acte 2, scène 1, ULYSSE)
Juste Ciel !... Mais, Seigneur, qu'avez-vous résolu ? v.341 (Acte 2, scène 1, ULYSSE)
Vous le savez, le peuple en son zèle est extrême ; v.347 (Acte 2, scène 1, ULYSSE)
Il révère en Calchas, et les Dieux, et vous-même : v.348 (Acte 2, scène 1, ULYSSE)
C'est vous qui prononcez l'arrêt de son trépas. v.350 (Acte 2, scène 1, AGAMEMNON)
Vous m'apprenez enfin que je me fais justice, v.351 (Acte 2, scène 1, AGAMEMNON)
Croirez-vous ce qu'au Peuple il prétend faire entendre : v.360 (Acte 2, scène 1, AGAMEMNON)
Songez-y ; n'allez pas, ardent à vous détruire, v.383 (Acte 2, scène 1, ULYSSE)
Mais Calchas, en effet, prétend-il vous déplaire ? v.391 (Acte 2, scène 1, ULYSSE)
Mais un appui vous reste en ce péril extrême. v.407 (Acte 2, scène 1, ULYSSE)
Refusez-vous de voir par quels secrets desseins v.409 (Acte 2, scène 1, ULYSSE)
Pourriez-vous craindre encore, à vous même contraire, v.419 (Acte 2, scène 1, ULYSSE)
Vous a-t-il vu vous-même épargner votre sang ? v.422 (Acte 2, scène 1, ULYSSE)
Calchas est innocent, puisqu'il vous le paraît. v.426 (Acte 2, scène 1, AGAMEMNON)
Après tant de délais, que voulez-vous qu'on pense ? v.435 (Acte 2, scène 2, ANTÉNOR)
Et ce n'est pas de vous que je prétends me plaindre. v.440 (Acte 2, scène 2, ANT?NOR)
Ah ! Si vous ne suiviez que vos propres conseils !... v.441 (Acte 2, scène 2, ANT?NOR)
De quoi m'accuse-t-on ? De mon zèle pour vous ! v.445 (Acte 2, scène 2, ULYSSE)
Prince ! De nos traités vous blâmez la lenteur ; v.449 (Acte 2, scène 2, ULYSSE)
Ce délai vous irrite : appelez-m'en l'auteur. v.450 (Acte 2, scène 2, ULYSSE)
Vous vîntes, des captifs, nous offrir la rançon, v.454 (Acte 2, scène 2, ULYSSE)
Vous avait, de nos chefs, ôté la confiance. v.456 (Acte 2, scène 2, ULYSSE)
J'eus mes raisons, Seigneur, que vous n'ignorez pas ; v.457 (Acte 2, scène 2, ULYSSE)
On vous eût renvoyé sans vouloir vous entendre. v.460 (Acte 2, scène 2, ULYSSE)
Eh ! Quels sont ces captifs que vous redemandiez ? v.461 (Acte 2, scène 2, ULYSSE)
Leur liberté, Seigneur, vous-même en conviendrez, v.465 (Acte 2, scène 2, ULYSSE)
Est sans doute au dessus du prix que vous offrez ; v.466 (Acte 2, scène 2, ULYSSE)
Ah ! Seigneur ! Cette fois, pourrez-vous croire Ulysse ? v.472 (Acte 2, scène 2, ANTÉNOR)
Trop de retardement vous tiendrait lieu d'injure : v.476 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
Princes ! J'ai donc vers vous rempli mon ministère. v.479 (Acte 2, scène 2, ANTÉNOR)
Et vous, Roi d'Épidaure ; et vous, Roi de Samos ; v.485 (Acte 2, scène 3, AGAMEMNON)
Dans la lice, avec vous, je veux moi-même entrer. v.502 (Acte 2, scène 3, AGAMEMNON)
Vous le savez ; Ajax a longtemps refusé v.505 (Acte 2, scène 4, AJAX)
Mais l'honneur que de vous il attend aujourd'hui, v.509 (Acte 2, scène 4, AJAX)
Est digne enfin, Seigneur, et de vous et de lui. v.510 (Acte 2, scène 4, AJAX)
Tous y portent l'espoir dont vous êtes épris ; v.521 (Acte 2, scène 4, AGAMEMNON)
Mon aspect, en ces lieux, vous rappelle sans cesse v.531 (Acte 2, scène 4, AJAX)
Que je vous disputai l'Empire de la Grèce, v.532 (Acte 2, scène 4, AJAX)
Que d'autres, à leur gré, vous vendent leur suffrage ; v.539 (Acte 2, scène 4, AJAX)
Et quelque titre ici qui vous puisse éblouir, v.541 (Acte 2, scène 4, AJAX)
J'y viens chercher la gloire, et non vous obéir. v.542 (Acte 2, scène 4, AJAX)
Quel intérêt pressant vers ces lieux vous ramène ? v.560 (Acte 3, scène 1, HERSILE)
Les Dieux n'ont pas permis qu'Ajax pût, devant vous, v.609 (Acte 3, scène 3, AJAX)
Quoi ? Vous pourriez souffrir que ce faible adversaire v.631 (Acte 3, scène 3, PENTHÉSILÉE)
Contre Ulysse ! Qui moi ? L'espérez-vous, Princesse ? v.635 (Acte 3, scène 3, AJAX)
Pourriez-vous exiger ?... v.636 (Acte 3, scène 3, AJAX)
Et gardez-vous de mettre un prix injurieux v.641 (Acte 3, scène 3, AJAX)
Oui, vous pouvez m'y suivre. v.644 (Acte 3, scène 3, PENTHÉSILÉE)
Mais ce ne sont plus ceux que vous pouviez attendre ; v.647 (Acte 3, scène 3, PENTH?SIL?E)
L'éclatant désaveu que je reçois de vous, v.649 (Acte 3, scène 3, PENTH?SIL?E)
Vous faire le serment d'une immortelle haine. v.652 (Acte 3, scène 3, PENTH?SIL?E)
Non, ce n'est point à vous que ma main fut promise. v.655 (Acte 3, scène 3, PENTH?SIL?E)
Oubliez-vous, Madame, en tenant ce langage, v.671 (Acte 3, scène 3, AJAX)
Puisque de vous servir je me suis fait la loi, v.677 (Acte 3, scène 3, AJAX)
Non, non. N'attendez point qu'un autre vous délivre : v.679 (Acte 3, scène 3, AJAX)
Au désir de vous plaire et de vous posséder ? v.682 (Acte 3, scène 3, AJAX)
Ajax doit seul pour vous, seul peut tout entreprendre. v.684 (Acte 3, scène 3, AJAX)
Me les envieriez-vous ? v.686 (Acte 3, scène 3, AJAX)
N'en doutez point ; je vais, je cours vous satisfaire. v.687 (Acte 3, scène 3, AJAX)
Ah, Prince ! Quel effroi semble ici vous surprendre ? v.707 (Acte 3, scène 4, PENTHÉSILÉE)
Je frémis des malheurs que je viens vous apprendre. v.708 (Acte 3, scène 5, ANTÉNOR)
Comment vous annoncer ces revers inouïs ! v.709 (Acte 3, scène 5, ANT?NOR)
Je vous entends, Seigneur ; épargnez-vous le reste. v.728 (Acte 3, scène 5, PENTHÉSILÉE)
Madame ! J'en sais un plus terrible pour vous. v.738 (Acte 3, scène 6, HERSILE)
Reine, armez-vous de tout votre courage. v.740 (Acte 3, scène 6, HERSILE)
Vous que je vois gémir du malheur qui m'opprime, v.748 (Acte 3, scène 6, PENTHÉSILÉE)
Vous dont mon imprudence a refusé l'appui, v.749 (Acte 3, scène 6, PENTH?SIL?E)
Sachez qu'il vous soupçonne. v.760 (Acte 3, scène 6, HERSILE)
Vous dépeignit sensible aux feux de son vainqueur. v.762 (Acte 3, scène 6, HERSILE)
Memnon vous croit coupable, et vient chercher la mort. v.766 (Acte 3, scène 6, HERSILE)
Ô Reine ! À quels dangers courez-vous vous offrir ? v.773 (Acte 3, scène 6, ANTÉNOR)
Faut-il vous immoler parce qu'il veut périr ? v.774 (Acte 3, scène 6, ANT?NOR)
De toutes parts ici la mort vous environne. v.775 (Acte 3, scène 6, ANT?NOR)
Ah ! Voilà les conseils que j'attendais de vous... v.794 (Acte 3, scène 6, PENTHÉSILÉE)
De Pergame à jamais assurez-vous l'estime. v.820 (Acte 3, scène 6, PENTHÉSILÉE)
Venez-vous donc ici détruire notre ouvrage ; v.840 (Acte 3, scène 7, ANTÉNOR)
Vous doutiez de sa flamme ! v.844 (Acte 3, scène 7, ANTÉNOR)
Quand son zèle pour vous, quand son amour jamais v.845 (Acte 3, scène 7, ANT?NOR)
C'est moi qui vous conduits ; moi dont la foi certaine v.851 (Acte 3, scène 7, ANT?NOR)
Vous répond, en ce jour, de celle de la Reine. v.852 (Acte 3, scène 7, ANT?NOR)
Savez-vous quel péril environne ses jours ? v.853 (Acte 3, scène 7, ANT?NOR)
Irrite sa colère, afin de vous venger ? v.858 (Acte 3, scène 7, ANT?NOR)
C'est à vous de fixer ce différent fameux v.903 (Acte 4, scène 2, AGAMEMNON)
Sur vous, comme sur eux, tiennent les yeux ouverts. v.908 (Acte 4, scène 2, AGAMEMNON)
Vous qui me réduisez à cet excès d'outrage, v.909 (Acte 4, scène 2, AJAX)
Sur quels bords êtes-vous ? Les efforts de mon bras, v.911 (Acte 4, scène 2, AJAX)
Vous ne rougissez pas de m'opposer Ulysse ? v.914 (Acte 4, scène 2, AJAX)
Prêterez-vous l'oreille à ses discours frivoles ? v.917 (Acte 4, scène 2, AJAX)
Ajax a combattu, nul de vous ne l'ignore ; v.925 (Acte 4, scène 2, AJAX)
Oui, Grecs, vous me devez tout ce qu'a fait Achille. v.957 (Acte 4, scène 2, ULYSSE)
Ô Grecs ! Donnerez-vous ces traits, ce bouclier, v.1007 (Acte 4, scène 2, AJAX)
À celui d'entre vous qui s'arma le dernier ? v.1008 (Acte 4, scène 2, AJAX)
Retracez-vous sa honte et sa fuite coupable. v.1009 (Acte 4, scène 2, AJAX)
Rappelez-vous le jour et le lieu mémorable, v.1010 (Acte 4, scène 2, AJAX)
Souffrirez-vous qu'Ajax vous insulte toujours ? v.1040 (Acte 4, scène 2, ULYSSE)
Ne confondrez-vous point cet orgueil qui vous blesse ? v.1041 (Acte 4, scène 2, ULYSSE)
Vous n'aurez, de ce siège, été que les témoins. v.1044 (Acte 4, scène 2, ULYSSE)
Et vous, Grecs, votre joie est-elle enfin complète ? v.1078 (Acte 4, scène 2, AJAX)
Avez-vous à loisir observé de quel front v.1079 (Acte 4, scène 2, AJAX)
Je n'ajoute qu'un mot, c'est à vous qu'il s'adresse : v.1081 (Acte 4, scène 2, AJAX)
J'ai dit : je me retire, et vous laisse y penser. v.1088 (Acte 4, scène 2, AJAX)
Sa haine contre vous n'a plus rien de secret : v.1091 (Acte 4, scène 3, ULYSSE)
Qui vous menace ainsi, vous servit à regret. v.1092 (Acte 4, scène 3, ULYSSE)
Mais que penseriez-vous, si j'osais, à vos yeux, v.1095 (Acte 4, scène 3, ULYSSE)
À qui soupçonnez-vous que son coeur les destine ? v.1098 (Acte 4, scène 3, ULYSSE)
Doit-elle vous cacher ces funestes secrets ? v.1100 (Acte 4, scène 3, ULYSSE)
Mais l'injure vous touche, il faut donc vous l'apprendre. v.1101 (Acte 4, scène 3, ULYSSE)
Frémissez de l'aveu que vous allez entendre. v.1102 (Acte 4, scène 3, ULYSSE)
Prince ! Ce jugement que vous avez rendu, v.1119 (Acte 4, scène 4, AGAMEMNON)
Pour vous communiquer des secrets d'importance, v.1133 (Acte 4, scène 5, EURYBATE)
Puissant Roi de Mycène ; et vous, Grecs assemblés, v.1139 (Acte 4, scène 6, PENTHÉSILÉE)
A fléchir devant vous, rien n'a pu me contraindre. v.1145 (Acte 4, scène 6, PENTH?SIL?E)
J'ose vous faire entendre une voix gémissante. v.1157 (Acte 4, scène 6, PENTH?SIL?E)
Tout l'or dont ma rançon vous flatta vainement, v.1163 (Acte 4, scène 6, PENTH?SIL?E)
Que me proposez-vous, et qu'osez-vous prétendre ? v.1170 (Acte 4, scène 6, AGAMEMNON)
Vous parlez de présents : vous pensez, par des dons, v.1175 (Acte 4, scène 6, AGAMEMNON)
Quand il en sera temps, vous le pourrez connaître. v.1190 (Acte 4, scène 6, AGAMEMNON)
Cruels ! Ainsi des Dieux vous empruntez la voix, v.1191 (Acte 4, scène 7, PENTHÉSILÉE)
Pouvez-vous ignorer v.1211 (Acte 4, scène 8, HERSILE)
Reine ! Eh ! Qu'espérez-vous de cet événement ? v.1215 (Acte 4, scène 8, HERSILE)
Ciel ! Que me dites-vous ? Se peut-il ?... Mais, Madame, v.1217 (Acte 4, scène 8, HERSILE)
Daignez de vos projets vous ouvrir à ma foi. v.1223 (Acte 4, scène 8, HERSILE)
Quels périls avec vous faut-il tenter ? v.1224 (Acte 4, scène 8, HERSILE)
Seigneur ! Ah ! Pensez-vous qu'une ligue unanime v.1241 (Acte 5, scène 1, ARCAS)
Vous enlève, des Grecs, et l'amour, et l'estime ? v.1242 (Acte 5, scène 1, ARCAS)
De tous les cours enfin vous croyez-vous proscrit ? v.1243 (Acte 5, scène 1, ARCAS)
Contemplez d'un autre oeil ce choix qui vous aigrit. v.1244 (Acte 5, scène 1, ARCAS)
Peut-il vous dérober l'honneur de vos exploits ? v.1248 (Acte 5, scène 1, ARCAS)
Télamon, comme vous, des Dieux persécuté, v.1251 (Acte 5, scène 1, ARCAS)
Quel tort vous fait, Seigneur, un injuste adversaire ? v.1253 (Acte 5, scène 1, ARCAS)
Êtes-vous moins des Grecs le Héros tutélaire ? v.1254 (Acte 5, scène 1, ARCAS)
Penthésilée enfin demandait à vous voir. v.1275 (Acte 5, scène 1, ARCAS)
Sans doute elle cherchait à vous trahir encore. v.1278 (Acte 5, scène 1, ARCAS)
Vous ne jouirez point de mes tristes fureurs. v.1287 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Ma disgrâce bientôt vous coûtera des pleurs. v.1288 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Vous n'insulterez point, cruelle, à mon naufrage. v.1289 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Il est temps que sur vous retombe enfin l'orage. v.1290 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Ma haine désormais... Reine ! Que faites-vous ? v.1291 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Vous, Madame ! Eh ! De moi qu'espérez-vous encore ? v.1293 (Acte 5, scène 2, AJAX)
L'espoir de me braver vous conduit-il ici ? v.1295 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Reine ! Rassurez-vous ; je prends votre défense. v.1298 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Parlez, ne craignez rien : Ajax sera pour vous. v.1299 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Ulysse, dites-vous ! v.1303 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Vous pâlissez, Seigneur, et semblez interdit ! v.1307 (Acte 5, scène 2, PENTHÉSILÉE)
Surtout, de vous venger, confiez-moi le soin... v.1311 (Acte 5, scène 2, AJAX)
À ces décrets sanglants, pourriez-vous méconnaître v.1313 (Acte 5, scène 2, PENTHÉSILÉE)
Vous êtes le seul but de ses complots pervers. v.1315 (Acte 5, scène 2, PENTH?SIL?E)
S'il a proscrit mes jours, c'est qu'il vous les croit chers. v.1316 (Acte 5, scène 2, PENTH?SIL?E)
Bientôt, de leurs bûchers, vous allez voir la flamme. v.1321 (Acte 5, scène 2, PENTH?SIL?E)
Tout mon sang est à vous... et cependant, cruelle ! v.1325 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Vous seule avez causé ma disgrâce nouvelle. v.1326 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Vous seule, en m'exposant au plus mortel affront, v.1327 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Ajax, avec les Grecs, vous croyait de concert. v.1332 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Que dis-je ? Hélas ! Vous seule, à ma perte animée, v.1333 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Vous avez jusqu'au bout conduit votre artifice : v.1337 (Acte 5, scène 2, AJAX)
C'est vous, cruelle ! Enfin, par qui triomphe Ulysse. v.1338 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Je vous revois, Madame, ils sont tous dissipés. v.1344 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Ciel ! Quel est votre espoir ? Que prétendez-vous faire ? v.1349 (Acte 5, scène 2, PENTHÉSILÉE)
Vous nous perdez, Seigneur, par d'imprudents secours ; v.1351 (Acte 5, scène 2, PENTH?SIL?E)
Et si vous paraissez, c'en est fait de nos jours. v.1352 (Acte 5, scène 2, PENTH?SIL?E)
Un prêtre, de mes bras, viendra vous arracher ? v.1355 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Je vous verrai saisir, et traîner au bûcher ?... v.1356 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Vous-même le voulez ; c'est par vous que je meurs. v.1359 (Acte 5, scène 2, PENTHÉSILÉE)
Vous, Reine ! Ah ! Dissipez ces indignes terreurs. v.1360 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Que vous n'ajoutiez point vous-même à ma disgrâce : v.1362 (Acte 5, scène 2, PENTHÉSILÉE)
Vous daigniez n'employer que les plus sûrs moyens. v.1364 (Acte 5, scène 2, PENTH?SIL?E)
Je me suis fait, Madame, un devoir de vous plaire. v.1365 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Sans vous montrer aux Grecs, qu'un seul de vos guerriers, v.1371 (Acte 5, scène 2, PENTHÉSILÉE)
Tenez-vous prêt vous-même à traverser les flots... v.1376 (Acte 5, scène 2, PENTH?SIL?E)
Il faut vous satisfaire. Arcas ! Tu viens d'entendre v.1377 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Vous partez ! Que mon coeur éprouve de tourment ! v.1383 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Vous partez ! Ah ! Du moins, ah ! Trop charmante Reine ! v.1385 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Assurez-vous Ajax qu'il n'a plus votre haine ? v.1386 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Il faut donc l'avouer : mon coeur ne vous hait plus. v.1388 (Acte 5, scène 2, PENTHÉSILÉE)
Que ne vous dois-je pas ? Vous brisez mes liens ; v.1391 (Acte 5, scène 2, PENTH?SIL?E)
Vous sauvez, et ma vie, et celle des Troyens. v.1392 (Acte 5, scène 2, PENTH?SIL?E)
Je vous dois... plus encor que je n'ose vous dire. v.1393 (Acte 5, scène 2, PENTH?SIL?E)
Dans le fond de mon coeur, si je vous laissais lire, v.1394 (Acte 5, scène 2, PENTH?SIL?E)
Vous le verriez, Seigneur, vaincu par vos bienfaits, v.1395 (Acte 5, scène 2, PENTH?SIL?E)
Vous n'êtes plus pour moi ce tyran redoutable. v.1397 (Acte 5, scène 2, PENTH?SIL?E)
Vous n'êtes plus pour moi qu'un héros respectable, v.1398 (Acte 5, scène 2, PENTH?SIL?E)
Ah ! Si vous me plaignez, quel malheur ai-je à craindre ? v.1405 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Ah ! Si je vous suis cher, puis-je encore être à plaindre ! v.1406 (Acte 5, scène 2, AJAX)
Vous-même avez servi ses barbares efforts. v.1491 (Acte 5, scène 6, ARCAS)
Quoi donc ? Ignorez-vous v.1495 (Acte 5, scène 6, ARCAS)
Prétend venger sur vous sa flotte et sa défaite. v.1501 (Acte 5, scène 6, ARCAS)
N'aient trop tard... Mais, Seigneur, vous ne m'entendez plus ! v.1504 (Acte 5, scène 6, ARCAS)
Quelle noire fureur tout_à_coup vous transporte ! v.1505 (Acte 5, scène 6, ARCAS)
Dieux ! Où m'entraînez-vous ?... Je sens que je m'égare ! v.1510 (Acte 5, scène 6, AJAX)
Et je saurai, sans vous, descendre chez les Morts. v.1528 (Acte 5, scène 6, AJAX)

Dans les 1862 textes du corpus, il y a 3 textes (soit une présence dans 0,16 % des textes) dans lesquels il y a 503 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 167,67 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Total
1	LE CERCLE, OU LA SOIR?E A LA MODE	221	0	0	0	0	221
2	LE CERCLE, OU LA SOIRÉE A LA MODE	6	0	0	0	0	6
3	LES PHILOSOPHES DE BOIS	31	0	0	0	0	31
4	AJAX	49	47	41	41	67	245
	Total	307	47	41	41	67	503